…pour danser la Samba, on va de ville en ville pour apprendre les pas !
Quand on va au Brésil depuis l’Argentine, on passe forcément par les chutes d’Iguaçu que se partagent les deux pays. Ces 275 chutes d’eau, parmi les plus impressionnantes du monde, sont situées en pleine forêt tropicale. Il fait (très) chaud, humide. La faune et la flore sont en abondance : coatis, papillons multicolores, singes, toucans, perroquets, caïmans…De quoi nourrir un futur article de Salomé sur les animaux.



Un véritable spectacle pour les yeux mais aussi pour les oreilles ! Je ne peux pas poster de vidéo mais je vous joins un enregistrement audio pour vous mettre dans l’ambiance.
Côté brésilien, nous avons visité une réserve naturelle pour oiseaux où nous avons pu observer de près quelques beaux spécimens. Nous avons particulièrement aimé les toucans et les aras aux superbes couleurs.

Quand on va au Brésil, on est aussi très impatient de découvrir la côte et ses plages. Voir en vrai les musculeux brésiliens au slip de bain moulant ainsi que les belles brésiliennes aux maillots (très) échancrés. Bref, vérifier si tout cela n’est pas qu’un mythe. Avouons aussi que cela fait 3 mois depuis l’île de Pâques que nous n’avons pas profité de la plage et que ça nous manquait.
Nous avons donc pris un bus de nuit pour nous rendre sur l’île de Santa Catarina, plus connue sous le nom de Floripa.
Une semaine de repos bien méritée dans un grand appartement à 500 mètres de la plage.


Une semaine aussi pour prendre nos marques, découvrir une nouvelle culture, un nouveau mode de vie. Appréhender aussi, pour la première fois depuis la Thaïlande, une nouvelle langue dont on ne parle pas un mot.
A ce propos, j’ai constaté qu’un long voyage comme le nôtre est une bonne école pour appréhender le changement. En effet, nous devons nous adapter à un nouvel environnement et sortir de notre « zone de confort » toutes les semaines !
C’est particulièrement vrai lorsqu’on change de pays. Ainsi, dans les premiers jours, on compare souvent et on doit s’affranchir des réflexes pris précédemment dans les modes de transport, les supermarchés, les réservations d’hôtel, etc. Désapprendre les habitudes prises dans notre quotidien, quoi.
Ce n’est pas toujours facile de changer son cadre de référence, pour les enfants comme pour nous (« ah ça, t’as vu, c’était quand même mieux avant ! »). Mais on s’adapte et on s’adapte plutôt bien car finalement, l’excitation et la motivation liées à la découverte prennent rapidement le dessus.
Ce qui est important à mon sens c’est surtout de conserver des « balises fixes » qui nous suivent partout et auxquelles nous pouvons nous attacher : d’abord nous quatre, la famille, mais aussi nos effets personnels (notamment les jouets pour les filles). Et puis, autre balise essentielle, le contact que l’on garde avec vous, familles, amis, collègues. Notre vraie vie, quoi.
Et pour ça, merci internet !

Je vous comprends le changement de vie peut être difficile mais vous avez trouvé vos marques (il est temps !!!!) Nous avons profité d’une semaine à Djerba pour me reposer, un peu court mais on fait avec. Retour à la dure réalité du travail depuis hier mon dieu vivement la retraite !!!!
je pense très fort à vous
gros bisous
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Superbes photos comme toujours. Bonne continuation.
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Quel incroyable voyage vous faites et regarder ces photos nous surprend beaucoup. Quelle chance vous avez de pouvoir vous offrir ce voyage.Je viens de regarder les photos avec Marie Bo qui est plus douée que moi sur les ordinateurs. Je viens de recevoir de la laine de Marie Bes qui me demande de faire une couverture pour son bb. On vous embrasse Marie et Moi.
Maman Janick
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Coucou les Aventuriers, toujours un immense plaisir de lire et regarder vos reportages qui nous apportent soleil et émerveillement (sans oublier l’envie et la chance que vous avez de vivre tout cela)
Pluie et grisaille, c’est notre lot quotidien, nous attendons avec impatience le retour du soleil.
Pour nous, tout va bien, la routine de retraités quoi!
On vous embrasse bien fort tous les quatre.
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